Dans un monde professionnel mouvant où la culture de performance exige sans cesse de se dépasser, les salariés sont soumis à des pressions extrêmement importantes pour s’adapter. Sans une bonne connaissance de soi, de ses limites, de ses failles comme de ses talents et potentiels, les risques de rupture sont élevés et l’épuisement professionnel (ou burnout) est sa conséquence ultime.
Le syndrome d’épuisement professionnel ou burnout peut toucher tous les salariés mais concerne plus particulièrement les personnes les plus engagées et les plus motivées. Conséquence d’un processus lié au sur-engagement et à une exposition prolongée au stress, il impacte directement les entreprises en affectant toujours des salariés fortement contributeurs à la performance et aux résultats.
Pourtant le burnout n’est pas une fatalité : en sensibilisant suffisamment tôt l’encadrement aux enjeux et en prenant en charge les salariés à risque d’épuisement, on peut enrayer ce phénomène. C’est la raison d’être de Kintsugi RH en apportant aux entreprises des solutions singulières dans la prévention de l’épuisement professionnel et l’accompagnement des personnes.
Le processus du burnout : du plaisir au travail à l’effondrement global
Quels enjeux pour l’entreprise ?
Un burnout, c’est jusqu’à 2 ans d’arrêt de travail, voire une impossibilité totale de retour du salarié à son poste.
Les conséquences pour l’employeur sont alors immédiates :
- Une perte de compétences,
- Une désorganisation des services et des projets en cours,
- Un report de la charge de travail sur les collègues,
- Un climat social qui peut se dégrader,
- Des contentieux plus nombreux en cas de rupture du contrat de travail avec des risques financiers importants et une marque employeur détériorée,
- Au final, des risques pour la performance de l’entreprise et le service rendu à ses clients.
L’épuisement professionnel en chiffres
3,2
millions
c’est le nombre estimé de personnes à risque face à l’épuisement professionnel en France (1)
%
des salariés sont en état d’hyper-stress, c’est-à-dire avec des risques pour leur santé (2)
%
c’est en moyenne la part des arrêts maladie ayant pour origine les risques psychosociaux (3)
%
c’est la part des processus de recrutement pour lesquels les entreprises anticipaient des difficultés en 2019 (4)
Le constat est alarmant : hors maladies ordinaires, les problématiques psychiques liées au travail sont les premières causes d’arrêts de travail. (5)
En parallèle, se dessine une raréfaction des compétences sur le marché du travail. Les risques de perte de savoirs faire et de savoir être sont réels : il y a nécessité de prévenir le burnout des salariés et de préserver l’entreprise de risques évidents.